Poursuivant sur ma lancée, je viens d'essayer de tracer le massif "Nockberg", m'imaginant naïvement que le fait de clore un espace entouré de limites continues, sauf là où on vient de le clore - en principe - suffisait à engendrer ipso facto un nouvel espace clos, donc un massif...
Eh bien non ! La madame Babasse ne comprend pas cette logique et veut apparemment que je me retappe l'intégralité du parcours, y compris les redans, microbosses et autres trous de souris.
Je laisse les choses en l'état, histoire d'illustrer le pb.
N'y aurait-il pas un progrès à faire dans ce domaine de la géométrie à deux dimensions... Bon, en informatique c'est sûrement galère d'y arriver.... Danke schön.
[doc] Clôture de massif
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Malheureusement non : ce qui semble à l'oeil un "trou" facile à combler est en fait mathématiquement, et informatiquement, très difficile à définir : liste des massifs voisins du "trou" (lui même difficile à définir), point de rencontre des limites de massifs, découpe de la partie de tracé de chaque massif contigu à utiliser, mise en ordre de toutes les parties de limite de massifs à utiliser et enfin fusion de ces tracés.
Bref, 4 ou 5 sujets de thèses en math, intelligence artificielle et informatique sans parler de la programmation.
Il reste 2 solutions :
- Extraire le tracé de chaque massif contigu (malheureusement, je n'ai pas écris la fonction pour le faire), les découper et les coller avec l'éditeur.
- étendre le tracé actuel en suivant les bords point par point. C'est un peu fastidieux mais pour un massif, on peut en arriver à bout (j'ai bien fait toutes les Pyrénées comme ça ! ). Tu seras aidé, à chaque sommet, par la fonction "snap" qui attire le curseur quand on l'approche d'un sommet.
Désolé.
Bon courage
Bref, 4 ou 5 sujets de thèses en math, intelligence artificielle et informatique sans parler de la programmation.
Il reste 2 solutions :
- Extraire le tracé de chaque massif contigu (malheureusement, je n'ai pas écris la fonction pour le faire), les découper et les coller avec l'éditeur.
- étendre le tracé actuel en suivant les bords point par point. C'est un peu fastidieux mais pour un massif, on peut en arriver à bout (j'ai bien fait toutes les Pyrénées comme ça ! ). Tu seras aidé, à chaque sommet, par la fonction "snap" qui attire le curseur quand on l'approche d'un sommet.
Désolé.
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Dominique http://chemineur.fr
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C'est parce que les vaches n'ont pas de notion de topologie qu'elles savent que le champ est clos
Plus sérieusement, si j'avais implanté une fonction pour refermer un polygone au plus prés de ses voisins, on aurait sans doute eu plus de créations intempestives que de vraiment utiles (imagine que, commençant un nouveau massif sur les bords de ceux existants, la machine ait décidé de recoller à la nouvelle Calédonie !).
Plus sérieusement, si j'avais implanté une fonction pour refermer un polygone au plus prés de ses voisins, on aurait sans doute eu plus de créations intempestives que de vraiment utiles (imagine que, commençant un nouveau massif sur les bords de ceux existants, la machine ait décidé de recoller à la nouvelle Calédonie !).
Dominique http://chemineur.fr
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Bah, c'est pas pire que les îles Kerguelen ... Tiens, je n'ai pas encore créé les territoires antarctiques français (TAAF)...Dominique a écrit :C'est parce que les vaches n'ont pas de notion de topologie qu'elles savent que le champ est clos
.....imagine que, commençant un nouveau massif sur les bords de ceux existants, la machine ait décidé de recoller à la nouvelle Calédonie !).