SĂ©jour les 26/27 avril 2018.
Le sol de la cabane était trempé (neige soufflée à l'intérieur, infiltrations,...??) et vu que les 3 balais étaient dépourvus de manche (celui qui restait, en alu, ne tenait pas), pas moyen de balayer.
4 chaises revĂȘtues de tissu complĂštent les bancs. Aucun outil de coupe, juste un fer de hachette pouvant servir de coin Ă fendre.
PoĂȘle rĂ©cent, en bon Ă©tat et efficace. Le bois prĂ©sent Ă l'intĂ©rieur est en partie trĂšs humide (voir plus haut) et il faut dĂ©marrer le poĂȘle au moins deux heures avant de se mettre Ă table le soir. Un petit tisonnier disponible, ce sera tout pour l'outillage.
Le volet de la fenĂȘtre est branlant : l'ancrage du gond infĂ©rieur est en train de se desceller. Toujours un grand espace sous la porte, Ă colmater avec des bĂ»ches. Une grosse branche sert Ă bloquer la porte de l'intĂ©rieur, vu qu'il n'y a rien d'autre.
Le mur du fond (O) est humide (en partie enterré). Pas trop de bazar, ni de bouteilles vides. L'enclos à bois, à g.en entrant est aussi sec qu'une piscine en activité et le bois y pourrit ; d'une maniÚre générale, mieux vaut le stocker en hauteur ou sur une épaisseur de bûches.
Soupente sĂšche (les infiltrations ne viennent donc pas du toit).
La fontaine donnait 1 litre en 8 secondes le 26, alors que le lendemain seul un filet d'eau en sortait... tuyau bouché par des saletés ?
La porte des toilettes à l'extérieur était ouverte !
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